Rencontrez la publiciste littéraire :Kimberly Burns
Ville natale: Manhattan.
Occupation: Publiciste littéraire, Kimberly Burns PR.
Destinations favorites : Paris, Rhône-Alpes, Golfe du Morbihan, Berlin, Los Angeles (tout ça), Sud du Maine, la péninsule supérieure du Michigan.
Envie de visiter : Le Jura et les Vosges pour le ski, l'eau, l'air, les Alpes, les forets, les châteaux, la nourriture, le fromage, le vin, et le peuple.
Rituels de voyage bizarres : Double vodka tonic au bar de l'aéroport + un appel téléphonique à BFF + une conversation avec un inconnu.
Régime de relaxation en vol : Regarder le sport à la télévision par satellite jusqu'à ce que je m'endorme pendant 20 minutes. (Répétez jusqu'à l'arrivée à destination.)
Toujours en bagage à main : Les kits bouchons d'oreilles orange et masques bleus qu'Air France distribue. Je les collectionne comme un petit enfant collectionne des bonbons.
Conciergerie ou bricoleur ? DIY parce que c'est la moitié du plaisir.
Tout voir ou allez-y doucement ? Allez-y doucement, j'espère avec un bateau, donc je peux tout voir d'un point de vue différent.
Conduire ou être conduit ? Conduisez pour que nous puissions nous arrêter où nous voulons.
Héros du voyage : Mon fiancé, pour s'endormir dans un taxi et décoller à chaque fois. Vénération.
La chose la plus étrange vue en voyage : Tous les gens qui mendient à l'extérieur du Vatican et, juste à l'intérieur, l'étalage de richesse le plus obscène. Ça me donne envie d'aller tout Robin Hood.
Meilleur équipement de l'hôtel : Une vue. (Aussi:une robe propre et moelleuse, eau en bouteille, et des gens gentils à la réception.)
Je rêve de mon repas à Colline Bleue, NYC. Le service, l'ambiance, la nourriture. Ils ont fait quelque chose avec un œuf et une feuille d'or que nous ne pouvons toujours pas comprendre. Et les accords mets-vins... juste au-delà.
Partout où je vais, je vérifie le librairies de langue anglaise.
Quand j'arrive dans un nouvel endroit, J'apprends la configuration du terrain en se mettre en place, se promener, et se perdre.
je ramène toujours à la maison dentifrice de n'importe quel pays que je visite. Le leur semble toujours moins sucré et meilleur.
Si je ne reviens jamais une auberge de jeunesse ce sera trop tôt car la vie est trop courte pour attacher vos chaussures à un poteau de lit. (Je te regarde, Ligure finale. Vingt ans plus tard, J'ai encore des cicatrices.)