Le Nicaragua déchire !
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Tout le pays bascule, au sens propre. Oui, nous aimions tellement le Nicaragua, mais en fait nous parlons du fait que chaque soir, Nicaraguayens à travers le pays, se retrouver entre amis et en famille, que ce soit dans leur pièce de devant ou même à l'extérieur, et bercer la soirée dans leurs fauteuils à bascule.
Mais même au petit matin, alors que nous nous frayions un chemin à travers les rues chaudes déjà flamboyantes, nous avons aperçu des hommes et des femmes, assis dans leurs salons frais, lisant paisiblement le journal et sirotant leur café dans leurs fauteuils à bascule. Le fait que les Nicaraguayens construisent leurs maisons avec une façade aussi ouverte et gardent leurs portes et fenêtres grandes ouvertes est le reflet de leur ouverture, même nature grégaire. Bienvenue, ça dit, parle-moi, nous faisons tous partie de la vie de cette ville.
Heureusement, la tradition des fauteuils à bascule ne se limite pas aux maisons privées - nous avions des fauteuils à bascule dans plusieurs de nos auberges et même dans quelques restaurants. C'était une façon amusante d'essayer l'un des aspects de « être nicaraguayen ».
Au coucher du soleil, nous avons dégusté du rhum Flor de Cana et regardé le monde défiler depuis nos fauteuils à bascule.
Et oui, ça a basculé !